☆ beautiful monster.

bliss hamilton
ft. célébrité // crédit@site.
your face is a work of art

âge vingt deux hivers. date/lieu de naissance vingt-six mars. nouvelle-orléans, louisiane. job ou études j'écume les bars nuits après nuits, j'fais rien de ma vie. statut célibataire. orientation sexuelle hétérosexuelle. caractère menteuse, manipulatrice, franche, rebelle, capricieuse, calculatrice, sournoise, pleine de vie. groupe le vent dans les cheveux. célébrité écrire ici.

UN. On dit que l'argent ne fait pas le bonheur mais moi je trouve qu'il aide méchamment à obtenir ce que l'on veut. Quand on a l'argent on peut avoir ce qu'on veut. Aussi superficiel que cela en à l'air : une belle baraque, une magnifique voiture et des fringues à tomber par terre. Avant, j'ignorais ce que c'était avoir du fric. Et il est arrivé avec sa bagnole à quelques millions et ses costards hors de prix. Il nous a offert une vie magnifique. Enviez-moi seulement. DEUX. Devenir mannequin à tout prix. On ne refuse rien à un visage comme le mien et quand on a mon corps, on se passe d'avoir un cerveau. La beauté écervelée ? Je n'irais probablement pas jusque là, je suis assez maligne, ne vous fiez pas aux apparences. Bien qu'un brin défoncée et explosive, je fais du quotidien de chacun un véritable enfer. Un enfer qui peut avoir un goût de paradis dirons-nous. TROIS. On a tous un passé et moi je cache le mien. Je suis Bliss la jolie fille, la petite peste qui vous faisait vivre un enfer au lycée. Je suis Bliss, je mens comme je respire et j'ai pas de sentiments. Je suis la jolie fille qui brise les cœurs et qui suscite la jalousie. Je suis la fille qui te pique ton copain pour une nuit parce que j'aime charmer et faire pleurer. Le monde tourne autour de moi alors que le tient s'effondre n'étant pas assez solide pour tenir. QUATRE. J'enchaîne les conneries, je sors beaucoup, j’aire dans les bar sans but bien précis mais parfois, j'aime me reposer. Je bois, je fume, un joint de temps en temps. Parfois j'ai les yeux explosés, manque de sommeil. Mais jamais, au grand jamais, je ne me drogue. Probablement par peur de devenir cinglée, de perdre la tête. CINQ. Je suis pleine de vie, pleine de peps. Le genre de nana que tout le monde aime ou à qui on tuerais pour ressembler. Je suis une boule d'énergie. J'ai un cœur mais il est très bien caché, j'ai peur de dire ce que je ressens comme si cela allait changer qui je suis ou la manière dont les gens me perçoivent. Je suis constamment joyeuse, j'essaie de pas montrer la frustration que je ressens certains jours. SIX. Je me fiche éperdument de ce que les gens peuvent penser de moi. Qu'ils m'aiment, qu'ils me détestent, je m'en fous, le plus important c'est qu'ils s'intéressent à moi. Même en me détestant. Au fond, ils sont suffisamment stupide que pour passer leur temps à parler de moi c'est qu'au final je dois bien les fasciner non ? SEPT. J'adore les longues soirées d'été à la plage, sortir, faire la fête, boire, faire du shopping, traîner en pyjama à la maison toute la journée, j'aime le rose, j'aime manger du chocolat. J'adore la presse à scandale, j'aimerais être dans la presse à scandale. J'aime les petits mots doux bien que je me fiche de qui ils viennent. J'adore draguer, séduire et j'en passe. Emballer, déballer, les faire rire, les faire pleurer. Au final, ce qui compte c'est mon bonheur personnel. HUIT. J'aime pas les araignées, les clowns, les ascenseurs, je suis claustrophobe, j'aime pas qu'on m'ignore, j'aime pas passer inaperçue. J'aime pas les petits appartements, je préfère les grandes maisons. J'aime les voitures de sport qui coûtent cher. Je n'aime pas quand ma meilleure amie me fait la gueule. J'aime pas ne pas savoir ce qui cloche. NEUF. J'ai la capacité de m'endormir n'importe où et n'importe quand. Quand je suis bourrée je pourrais m'endormir devant la porte sans me rendre compte que je suis encore dehors. Il m'arrive également de m'endormir sur le clavier de mon ordinateur par exemple. Je sais pas pourquoi, c'est mon côté bizarre ça. Faut pas y prendre attention. DIX. De temps en temps j'essaie l'humour mais c'est pas mon truc, je suis plus sarcastique qu'atre chose. Et parfois je fais des blagues que je ne comprend pas moi même. C'est mon côté blonde, je peux dire des conneries grosses comme le monde et les penser. Quitte a passer pour une débile j'avoue. Si je me du temps à rire à vos blagues, le prenez pas mal mais je les comprendrais peut-être pas toutes.

pseudo/prénom Spectrophobia ☆ Lottie. âge on demande pas l'âge d'une demoiselle ☆ beautiful monster. 3193667494

. t'habites où? quelque part en Angleterre. comment tu as connu le forum? c'est le mien. t'en penses quoi? j'serais pas objective sinon j'disais ce que j'en pense. présence préparez vous, Bliss est dans la place.

Code:: <pris>aurora mohn</pris> ♢ <pseudo>bliss hamilton</pseudo>

"- Tu crois au coup de foudre ?
- Ouais.
- Naïve."
Jeux d'enfants (quote@kaakook)
Bonne à rien. Je suis une bonne à rien. Il me l'a répété des milliards de fois. Le matin avant de partir au collège. L'après midi lorsque je revenais. Elle a vu la scène se répéter des milliards de fois. Et puis, j'ai pas compris mais il est parti. J'avais 11 ans. Il s'est barré, un aller sans retour, je ne l'ai plus jamais revu. Mon père, comme je devais l'appeler. Il s'est barré et s'est évaporé dans la nature pour le bien de tous. Et un matin, j'ai vu ma mère sourire et j'ai compris qu'elle était enfin heureuse. Et c'est à ce moment là que j'ai su c'était quoi une véritable famille. Des gens pour se soutenir quoi qu'il se passe. Elle avait rencontré quelqu'un et ça puait le bonheur à plein nez. L'amour, le véritable amour. Et moi j'avoue que j'ai pas trop compris. « Tu dois être Bliss. » Il est rentré dans la pièce comme un ange. Il avait l'air de resplendir, comme expliquer ? Voilà qu'à présent je n'étais plus seule, je n'étais plus la bonne à rien. Un frère. Un demi-frère. Un père riche à crever. Une nouvelle vie. Paris, Rome, New-York, Berlin, Melbourne. Quelques années. Des nouvelles aventures. Et finalement, Brighton. Une nouvelle vie.

"Félicitations tu vas bientôt
toucher le fond, c’est bien."
Fight club (quote@kaakook)
« T'es nouvelle ? Vu tes fringues je m'en serais doutée. » Elle a l'air naïve, jeune et timide. Un nouveau petit poussin dans cette horrible cour qu'est le lycée. Elle vient d'arriver, elle va être paumée, elle a besoin de quelqu'un. Je suis ce quelqu'un. Je l'oblige à devenir mon amie. L'argent achète tout et puis on ne peut absolument rien refuser à un magnifique visage comme le mien. On ne me dit pas non, on ne m'a jamais dit non. Une sœur, même moi j'en ai besoin. Je la traîne dans les couloirs de l'école, l'obligeant à me suivre et je lui raconte tout ce qu'elle a besoin de savoir. Fleur. Elle a l'air de venir de Mars, c'est ça qui la rend adorable. Les années passe et on s'accroche l'une à l'autre. Et puis, un jour, l'amour lui tombe dessus. Et là j'ai l'impression de perdre ma sœur. Alors je deviens plus méchante jour après jour. « Il va te briser le cœur, il n'est pas assez bien pour toi. » Triste réalité. Une réalité qui m'échappe parce que j'arrive pas à comprendre ce qui lui prend. Alors je tente d'y remédier.

"Et surtout, n’oubliez pas, à chaque problème
sa solution... et s’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y
avait pas de problème."
Fight club (quote@kaakook)
Un raté, un junkie, un pauvre nul. La panoplie du parfait connard paumé qui regarde les filles pleurer après leur avoir brisé le cœur. Première impression. J'use alors de mes charmes pour tenter de l'éloigner de Fleur. Elle va finir par pleurer à cause de ce type et lui en rigolera en la regardant. Seconde impression. Et puis, y'a certains soirs où on broie du noir et là, j'ai trouvé Trey quelque part. Il n'étais pas le gars paumé que j'avais l'impression de voir en temps normal. Il était différent et je sais pas pourquoi, j'ai merdé. A trop abuser de mes charmes, j'ai fais une erreur. Je voulais juste l'éloigner et je voulais qu'il lui foute la paix. Et puis, elle l'a appris. Une, deux, trois. Des claques qui tombe sans qu'on s'y attende. Elle s'était rebellée et moi j'étais carrément paumée. « Tu loupes jamais une occasion d'ouvrir les cuisses pas vrai ? » Je voulais pas la blesser, j'voulais la protéger. A trop faire j'ai perdu ma seule et unique véritable amie. Et pour la première fois j'ai l'impression de ressentir une véritable tristesse. Tristesse tiraillée par de la fierté. Fière qu'elle se soit enfin rebellée. Et pourtant, elle s'en va. « Fleur, je suis désolé. Je voulais te protéger, t'es trop naïve pour y arriver seule. » Je n'arrive probablement plus à m'exprimer correctement. Trop blessée probablement. A la limite de pleurer. La porte claque. Je reste seule.

"Je suis venue, j'ai bu et j'ai
rien vu. Non, rien du tout."
Inconnue (quote@idk)
« Salut poupée. » Encore un soir où rien ne va. Pour les autres, pas pour moi. Je vais constamment bien comme si rien ne pouvait me troubler. Je le laisse entrer, je sais pas d'où il vient ni ce qu'il a fait. On dirait qu'il a fait la guerre. Il empeste l'alcool et la mort. Comme si il avait traîné dans des bars pendant des jours et des nuits. Errant comme une âme égarée. Errant comme un chien perdu. Il va dans la salle de bain, il revient, dans un meilleur état. Je lui propose de dormir sur le canapé, en espérant qu'il sera plus frais demain matin. Mais finalement, la tequila berce notre soirée et on se réveille le lendemain, avec une gueule de bois monumentale. J'ai toujours voulu le considérer comme mon demi-frère. Mais il y'avait quelque chose chez lui qui m'attirait. A quelques reprises, je tire la couette de mon côté, tentant de me rendormir sans trop me rappeler de cette nuit. Et puis, le matin arrive, tirant un trait sur nos conneries. « Pars s'il te plaît. » Pas blessée, pas froissée, simplement paumée. Il tente de savoir pourquoi. Je n'ai pas envie de répondre à ses questions. Je veux de la tranquillité. Je veux pouvoir respirer. Tout laisser aller et laisser passer cette gueule de bois qui me pourrit ma journée. Au abonnés absents pour quelque temps.

"J’ai peut-être un pied dans la tombe,
mais je ne veux pas qu’on me marche sur l’autre !"
La boum (quote@kaakook)
« Tu devrais t'excuser, encore et encore jusqu'à ce que je te pardonne. » Je ne comprend pas. Je ne comprend toujours pas ce qu'elle me reproche. Qu'est ce qui se passe ? Qu'est ce qui m'arrive ? Qu'est ce que j'ai fait à ma meilleure amie pour qu'elle m'en veuille. Je pensais que de nous deux, j'étais la plus forte, la moins naïve. Je me trompe ? Je ne sais pas. Elle s'acharne. Encore et encore. Les gifles tombent, les unes après les autres. Encore. Toujours. Éternellement. Sans qu'elle ne s'arrêtent. Et puis le trou noir. J'ouvre les yeux et je me redresse en criant. J'ai pas compris ce qui c'est passé. Ça devait être un cauchemar. Un énième cauchemar. Toujours le même cauchemar. Soirs après soirs. Sans que je puisse y comprendre quelque chose. « Mais c'est pas possible. » Non, c'est pas possible. Je comprend pas. Pas que cela m’ait traumatisé, je ne pense pas que ce soit possible. Je pose mes mains sur mon visage et je me laisse tomber dans mon lit. Demain est un autre jour. J'aurais peut-être plus de chance.

"On rencontre quelques fois son destin
sur la route qu’on a pris pour l’éviter."
Mon nom est personne (quote@kaakook)
« Et si, en plus du dessert offert je pouvais avoir votre numéro, ça m'arrangerait. » La délicatesse dans toute sa splendeur. Ne m'en voulez pas, j'aime plaire, j'aime qu'on m'aime. J'aime récupérer les numéros des serveurs après avoir dîné dans un restaurant. Et quand en plus celui ci t'offre le dessert parce qu'il te trouve jolie, que demander de plus ? C'est sous les yeux du demi-frère, choqué, que j'ai exécuté mon coup. Et puis rien, plus rien pendant vingt minutes. On sort du restaurant et là, il m'attrape par le poignet. « Tu n'as vraiment pas pu t'en empêcher Bliss. » De quoi ? J'aimerais bien le savoir. J'ignore totalement ce qui se passe en ce moment, est-ce qu'ils se sont tous mis d'accord pour me reprocher des choses dont j'ignore l'existence ? Probablement. Je n'ai rien à me reprocher alors je ne comprend pas toujours. « Vous vous êtes donnés le mot ou comment ça se passe ? Si il y'a bien une chose que j'aurais voulu éviter aujourd'hui c'est un scandale. « T'es gonflée quand même. » Et puis tant pis. Je ne veux même pas savoir. Ne pas savoir signifie que je ne perdrais probablement pas mon temps à chercher une solution. Et au moins, cela n'affectera pas mon bonheur quotidien.

hâte de lire ta fiche babe ☆ beautiful monster. 3496398823

je veux un lien of courses ☆ beautiful monster. 1474234781

toi-même d'abord.

« Il va te briser le cœur, il n'est pas assez bien pour toi. »
eh oh, on va se calmer hein. ☆ beautiful monster. 3486511989

rebienvenue, on va bien s'amuser moi j'dis. ☆ beautiful monster. 3354829435

(fleur patapé)

Trey Sullivan a écrit:: « Il va te briser le cœur, il n'est pas assez bien pour toi. »
eh oh, on va se calmer hein.
rebienvenue, on va bien s'amuser moi j'dis. (fleur patapé)