&. heart's on fire.

Invité

louis orson.
ft. sam claflin // samclaflin-daily@tumblr.
in fact i don’t have any but i've got enough.

âge à vingt-six ans, louis est épanoui. face au miroir le matin, son reflet le satisfait. certainement porte-il le poids de quelques regrets, de souvenirs, de tableaux du passé. mais il est là, vivant et comblé. date/lieu de naissance le quatorze mars au sein d'une maternité de brighton, ses fêtes d'anniversaire n'ont jamais été explosives. un gâteau, des bougies, cinq ou six amis. peu de cadeaux, les symboles qu'il faut. job ou études professeur de philosophie à l'université, il est un homme respecté dans le corps enseignant et parmi les étudiants. non pour ses cours, particulièrement déstructurés, davantage pour ses thrillers psychologiques. il est auteur à succès. des journeaux s'arrachent son nom, des libraires se battent pour des séances de dédicaces. lui écrit. encore. statut ses jolies collègues jasent à son sujet à la pause café. il en rit, retrouvant secrètement sa belle à lui. en couple avec l'une de ses élèves, la passion devient peu à peu plus forte que la discrétion. orientation sexuelle les filles et leurs traits doux, leur rouge à lèvres brillant, leurs escarpins, leur élégance. leur charme, de l'extérieur au plus profond de leur coeur. caractère des qualités incroyables. agréable, aimable, amusant, animé, attentionné, calme, charismatique, clément, conciliant, confiant, cultivé, distingué, éloquent, entreprenant, imaginatif, intelligent, loyal, optimiste, responsable, romantique, sensible, sincère, sportif, tendre, volubile. de gros défauts. borné, confus, crédule, débordé, dépensier, désordonné, désorganisé, distrait, émotif, entêté, étourdi, imprudent, impulsif, influençable, jaloux, laxiste, maladroit, moralisateur, naïf, obstiné, peu ponctuel, possessif, (parfois) puéril, têtu. des caractéristiques neutres. académique, conformiste, conventionnel, curieux, extraverti, franc, (un peu) matérialiste, rêveur, séducteur, souple, spontané. groupe le vent dans les cheveux. célébrité sam claflin, l'unique.

louis collectionne les antiquités. les meubles boisés, les vinyles. il a investi il y a quelques temps dans une machine à écrire et, plus récemment, dans un jukebox. les murs de son appartement sont tapissés d'oeuvres d'andy warhol et de photos de ses idoles. sa filmographie attise d'ailleurs souvent la curiosité de ses invités. il ne possède que très peu de longs-métrages contemporains, préférant les comédies, drames et récits d'aventures de la belle époque. ~ louis se voit souvent complimenté sur sa cuisine. il revisite autant des recettes de ses grand-mères qu'il prépare des mets raffinés. louis est passionné par la délicatesse de la gastronomie française. ~ le jeune homme devait porter des lunettes, tolérant peu les lentilles de contact. il a préféré s'y risquer plutôt que d'avoir des montures sur le bout du nez. et s'il n'est pas le plus mal vêtu, il a un style tout à fait ordinaire. il ne s'offre que le luxe des chaussures. ~ il est particulièrement adepte du whisky écossais. de sa couleur ocre et son goût légèrement fruité. ~ son père devait des comptes exorbitants à un organisme de crédits. il empruntait beaucoup, jurait qu'il paierait, pour acheter des appartements. il ne se sentait jamais aussi bien qu'entre des murs à peindre, des planchers à cirer, des décorations à ajouter. néanmoins versatile, il n'a pu terminer ses travaux. il s'enfonçait dans les endettements, plus encore en essayant de s'en sortir seul par le cycle infernal du jeu. louis, finalement, n'a aidé son géniteur que dans un domaine : l'écriture. après son suicide, louis a déguisé les noms, les vies, conservant l'intimité de son père, pour retranscrire l'histoire dans un premier roman. l'homme au pinceau. ~ sa mère, quant à elle, était là pour son fils sans l'être. elle l'écoutait sans l'écouter, le voyait grandir sans le voir, l'aimait sans l'aimer. elle ne s'est jamais remis du décès de son deuxième enfant. la mort subite du nourrisson. louis s'en souvient et pense à son frère quelques fois, là-haut, quelque part. si au début il souffrait de l'indifférence de sa mère, il ne ressent enfin plus de colère. face à son mutisme, elle a été transférée à l'hôpital où il se rend régulièrement pour prendre de ses nouvelles. ~ louis consacre ses dimanches aux promenades en vélo, à bicyclette. il court un peu, à l'occasion. et il nage. à la mer exclusivement, par tous les temps. il a toujours apprécié le contact de l'eau. ~ il a un chat, éole, qui dort sous ses fenêtres et joue avec son essuie-tout. ~ louis a toujours un roman des soeurs brontë ou de jane austen sur sa table de chevet.

pseudo/prénom roséliande. la fleur de merlin qui éclot doucement. âge des années de patience.. t'habites où ? dans le dortoir des poufsouffle à hogwarts. comment tu as connu le forum ? via le joli mot sur notre référence. t'en penses quoi ? &. heart's on fire. 3496398823

graou, c'est beau. présence deux ou trois fois par semaine selon mes cours.

Code:: <pris>sam claflin</pris> ♢ <pseudo>louis orson.</pseudo>

Invité

louis souffla en montant les marches de l'estrade, nerveux. il détourna brièvement le regard sur sa meilleure amie, le diplôme déjà en mains. le proviseur lui remit le sien après des félicitations de circonstance et il patienta, au milieu de ses camarades. certains parents ne purent retenir leurs larmes, d'autres décrochèrent maladroitement leur téléphone portable. lorsque le dernier vint grossir les rangs des nouveaux étudiants, ces derniers lancèrent leur chapeau dans les airs. on a réussi, confia louis à bethzy. tu as réussi, le rectifia-t-elle à la hâte. devant l'expression médusée du jeune homme, elle ajouta, bas. je m'en vais. louis arqua un sourcil tandis qu'il l'entraînait au calme. tu t'en vas.. mais ?.. sa phrase resta en suspend un long moment. yeux dans les yeux, le temps semblait s'être figé. arrêté, stop. le bruit environnant n'était plus que perception inconsciente, les amis heureux ignorés, les messages effacés. il rêvait. ces secondes, ces mots. le déchirement. il ne concevait pas les mois prochains sans sa betz. ce n'était pas dans le script. ça ne faisait pas partie du match. non. ils ne jouaient plus. ça devait arriver, louis. j'ai besoin - vraiment - de découvrir, de sentir, de voir, de vivre l'inconnu. paris, vienne, les campagnes irlandaises. j'en rêve. tu le sais, oui. tu le savais. changement d'équipe. les bulls contre les pistons. ils se ressemblaient tant, avant. et la vie les séparait. ils grandissaient. bougeaient. elle aimait ses projets, lui ses ambitions. il la comprenait, au fond. il n'avait guère le droit de la retenir. malgré tout, il tenta un ultime lancé. tu te perdras. seule, là-bas. et si tu ne te plais pas ? et si ce que tu cherches est bel et bien ici ? le ballon frôla le filet, comme échappant un espoir. il tourna sur le panier, inlassablement, et retomba lourdement au sol. betz se montrait déterminée. j'ai désiré pendant dix-huit ans que ce que j'attende se trouve ici. dix-huit ans, louis. je sais que le chemin sera périlleux, mais et si au bout du voyage, il y a quelque chose de plus précieux ? louis murmura. je n'arrive pas à savoir si je dois me réjouir face à tant de force ou si je dois m'inquiéter pour ta naïveté. bethzy se saisit de la balle, qui rebondit trois ou quatre fois. louis ne comptait plus. louis abandonnait. tu as raison. je suis naïve. elle, tournait simplement les talons. sans promesse de retour. sans promesse tout court.

~ ~ ~
la petite tête blonde était cachée parmi des centaines d'autres. installée sur les rangées centrales de l'amphithéâtre, ses yeux bleus n'avaient pourtant pas échappé à ceux vert bouteille de louis. elle l'écoutait à demi, semblait griffonner un brin de notes, des morceaux futiles. il récitait son cours, s'égarait en chemin, fasciné par celle qui se détachait de l'assemblée. il projetait des extraits d'oeuvres au mur, datait les existences des philosophes et se perdait dans des superficialités les concernant. il buvait la café posé sur sa table entre deux phrases, jetant discrètement un coup d'oeil au trombinoscope des étudiants. elle était dans les avant-derniers. mais elle y était. il se répéta son nom de famille intérieurement jusqu'à ce qu'il annonce la pause. certains sortirent de la salle, d'autres y restèrent. louis n'y prêta guère attention, réclamant seulement la sienne. mademoiselle ring ? demanda-t-il en la voyant s'apprêter à quitter les lieux. un silence gênant s'installa entre eux, au cours duquel ils se détaillèrent mutuellement. louis reprit finalement la parole. vous m'accorderiez quelques minutes à la fin de l'heure ? mela hocha timidement la tête. elle pensait sûrement à mal au moment où lui cherchait vainement une explication à ce tête-à-tête. je vous ai trouvée jolie. si on vantait les mérites de la vérité, mieux valait parfois la dissimuler. il se concentra avec peine sur emmanuel kant, platon et épicure. il aimait l'ondulation des cheveux de mela. cette part de liberté. de naturel. il l'imaginait tournoyer dans un champ de coquelicots, de tulipes ou de pâquerettes. je t'aime un peu, louis se passa une main sur le visage. éveillé d'un songe, le compositeur n'avait plus de notes sur sa partition. la citation.. le professeur en perdait ses feuilles. voici. je vous conseille de la retenir, cela ne pourra que vous aider à l'examen du semestre. il articula, éleva d'une octave sa voix, comme l'instant grave d'une symphonie, fait de piqués et staccatos, présageant un motif nouveau. louis consulta sa montre, s'étonna d'être en avance. il salua les étudiants, les gratifiant d'un sourire courtois et vivaldi l'entraîna une fois encore dans ses douces rêveries. monsieur ? il aimait sa voix. une voix qui, doucement, remplaça l'harmonie des quatre saisons. cette voix était désormais son harmonie à lui. mela, mela. entre dans la danse avec moi. dîtes-moi, mademoiselle ring. pourquoi avoir choisi la philosophie ? et ils échangèrent longuement. les jours suivants, ils se retrouvaient en terrasse du black dove. cocktails, ouvrages et confidences. louis invita sa mela un soir à l'aguadulce. mais c'était le long de la jetée, seulement, qu'il lui vola leur premier baiser. au soleil couchant.

Invité

sam le plus beau je veux un lien
bienvenue parmi nous

Invité

il n'était même pas négociable. :héhé:
merci. I love you

sasha est un excellent choix. (une rime. &. heart's on fire. 2842838882

)

Invité

bienvenue et bon courage pour ta fiche

SAM

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betzag.

lucy perfection. &. heart's on fire. 3190169208

et le prénom. &. heart's on fire. 2561155302

merci.

han je ne t'ai même pas souhaité la bienvenue &. heart's on fire. 4003844349

donc BIENVENUE &. heart's on fire. 1474234781

Invité

Saaaaaaaaaaaaaaaam il. nous. faut. un. lien. bienvenue

Invité

merci vous deux. &. heart's on fire. 885867207

minnie cookie, avec plaisir. :héhé: I love you

comme je te le disais, je suis sous le charme de ta manière d'écriture, c'est fluide, agréable, bref, je peux t'épouser?

fiche validée
je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps :héhé:

Invité

c'est adorable. &. heart's on fire. 4104597964

vraiment, vraiment. merci tout plein. I love you

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